Le 31 mai, la ville de Metz a rendu un hommage à l’enfant du pays qu’est André Schwarz-Bart. Né à Metz le 23 mai 1928 (et disparu en 2006), l’écrivain français d’origine juive polonaise s’est fait connaître avec le roman Le Dernier des justes, qui obtient le prix Goncourt en 1956. Considéré comme l’un des chefs d’œuvre de la littérature française – à l’égal de La Peste de Camus, le livre a été traduit dans beaucoup de langues. Il impose le genre de la saga mythico-historique (racines d’un peuple en quête de son identité).
C’est en-Jurue que se trouve la plaque dédiée à la maison natale d’André Schwarz-Bart.
Dans le cadre du projet d’établissement des Bibliothèques-Médiathèques de Metz, « Figures de Metz© », Christian Fafet a réalisé ce portrait du prix Goncourt :
Pour information:
Le fils de Simone et d’André Schwarz-Bart, Jacques Schwarz-Bart, est un saxophoniste, compositeur de jazz. Sa musique travaille en profondeur les traditions rythmiques caribéennes. L’album Abyss, sorti en 2008, est un album hommage à son père sur lequel on retrouve, entre autre, Elisabeth Kontomanou. Les BMM proposent la discographie du jazzman en prêt.
Lien MySpace de Jacques Schwarz-Bart
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Véronique D.
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